Portraits

Nicolas, multi-diplômé de l'INB

actu 2015 08 13 nicolas lebrunDeux formations et quatre ans. C'est ce que Nicolas a passé à l'INB. Il nous explique pourquoi et comment.

D’où viens-tu ?

De Normandie, plus précisément du Calvados. Avant d’arriver à Concarneau, j’avais passé un CAP Menuiserie. Et depuis tout petit, j’ai l’occasion de monter sur des bateaux, à voile et à moteur. A tel point qu’après mon CAP, j’ai eu envie de suivre une formation qui me permettrait de travailler sur les bateaux. J’ai recherché des formations de maintenance nautique, et j’ai trouvé l’INB. C'était en 2011

Tu es donc entré en Bac Pro Maintenance nautique. Comment ça s’est passé ?

La formation s’est passée en alternance, pendant 2 ans (avec son CAP, Nicolas est entré en Bac pro directement en classe de première). J’ai trouvé une entreprise à Ouistreham, Marine 2000, qui m’a pris en alternance : c’est un concessionnaire de bateaux moteur qui comptait 3 salariés dont le gérant, et je suis venu compléter l’équipe. En particulier pour aider le chef d’atelier sur les réparations, sur le montage d’appareils, sur la mise en service de bateaux neufs.

Et comment en es-tu venu au technico-commercial ?

Mon alternance a pris petit à petit une tournure commerciale, d’abord en accompagnant les clients sur les essais en mer, ensuite en m’occupant de la vente de pièces détachées et d’accessoires et en faisant du conseil. Ça m’a vraiment plu, ce contact client. Et puis en discutant avec les stagiaires technico-commerciaux que je croisais à l’INB, je me suis décidé à me lancer dans cette formation, après avoir passé mon Bac Pro.

J’avais bien apprécié le côté alternance de ma formation Bac Pro, et comme les choses se passaient bien avec Marine 2000, j’ai démarré la formation technico-commerciale en 2013 en contrat de professionnalisation avec l’entreprise. Ca a été un petit changement de casquette, mais ils étaient intéressés parce que je connaissais déjà bien l’entreprise. Depuis 2 ans, je m’occupe de la vente de bateaux en neuf et en occasion, de la vente de pièces d’accastillage au niveau du magasin rattaché à l’atelier. Je suis sur les salons où l’entreprise expose, à Paris et Ouistreham, je gère les stocks du magasin, et je réceptionne les clients de l’atelier. Là, je remets ma casquette technique et je fais des diagnostics rapides.

La transition entre ton poste en atelier et ton poste commercial n’est pas trop dure ?

Non, ça s’est fait progressivement. Et puis je continue à jongler avec les deux casquettes. Les deux sont importantes. Mon bagage technique me sert bien pour discuter avec les clients. Maintenant, la formation commerciale me permet d’aborder d’autres domaines, comme la communication. Je voudrais mettre l’accent sur le web et les réseaux sociaux.

Qu’est-ce que tu retiendras de ton expérience à l’INB ?

Les deux formations que j’ai suivies à l’INB se complètent très bien avec mon expérience en entreprise. L’apport théorique est très important, et c’est un gros avantage. J’ai concrètement pu mettre ça en application pendant mon alternance. Ensuite les relations ont été très bonnes entre les différentes promos de stagiaires. Les effectifs sont restreints, chacun vient d’horizons et de régions très différents, c’est intéressant pour les échanges.

Quand je me revois à 19 ans, à l’âge où je suis rentré à l’INB, je me dis que j’ai fait du chemin sur les plans personnel et professionnel, beaucoup de choses ont changé pendant ces quatre ans.

Tu recommanderais ta formation à d’autres personnes?

Oui, bien sûr, et d’ailleurs c’est déjà fait. J’ai un ami, lui aussi du Calvados, qui passe les tests pour rentrer à l’INB en octobre.

Qu’est-ce que tu lui as dit pour l’inciter ?

Les cours et les plateaux techniques sont d’un très bon niveau. Les formateurs et tous les intervenants sont des pros du secteur. On a l’occasion de travailler sur des cas concrets, de faire des jeux d’entreprises réelles. Par exemple, cette année, on était en partenariat avec le Pasco, le port à sec de Concarneau, pour monter un dossier de création de shipchandler. D’un côté, j’ai pu me baser sur les cours et sur mon expérience en alternance pour réaliser le dossier, et de l’autre, l’apport de l’équipe du Pasco était enrichissant.

Tes conseils pour les futurs stagiaires de l’INB ?

Ne pas rater les cours : le programme est dense, il faut bien suivre. Mais c’est aussi ce qui fait l’intérêt de la formation. Il y a beaucoup d’intervenants au cours de l’année. Ils sont là pour nous, il ne faut pas hésiter à les interroger.

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