« Ce système n’offre-t-il que des avantages ? Pas pour tout le monde. ....
Le marché français reste l’une de nos priorités, explique Edouard Gorioux, même si 60% de nos clients sont étrangers. On a toujours un bassin de navigation en France notamment en Bretagne. Et on double le nombre de locations d’années en années depuis 2015. Dans l’ouest, on compte déjà 1500 bateaux dans une cinquantaine de ports. » Une réussite pour cette start-up qui a su surfer sur la vague d’engouement que suscite la plaisance. En 2016, elle avait pu lever 1 million d’euros puis 4 millions en 2018. Des sommes qui lui ont permis de poursuivre son développement.