
En 2009, Boréal comptait neuf salariés. 18 en 2013. 35 aujourd'hui. Tout en faisant travailler une vingtaine de sous-traitants. « Je cherche des menuisiers agenceurs. Si cinq se présentent aujourd'hui, je les embauche tout de suite », souffle Jean-François Delvoye, contraint de planifier « une phase de stabilisation ». Car le carnet de commandes est rempli. « 30 Boréal naviguent sur les mers du globe. 10 sont en construction. 15 sont en commande. Et on refuse d'enregistrer des nouvelles commandes pour l'instant. » Des bateaux dont les prix varient entre « 420 000 € HT à 850 000 € HT »