Deux voiliers qui dynamisent l'entreprise ?
Beaucoup de commandes en prévision donc, qui implique de développer l'entreprise ?
Toujours à l'étroit au Minaouët ?
En 2003, vous construisez votre première unité dans votre garage à Mousterlin. Puis vous vous installez à Trégunc. Si c'était à refaire ?
Fin 2014, l'export représentait 20-25 % de notre chiffre d'affaires ; en 2015, nous passons à 30 % et nous tablons sur 45 % voire plus pour 2016. Marée haute est aujourd'hui un petit chantier qui s'impose dans le paysage européen.
Nous avons commencé à deux salariés en 2003. Aujourd'hui nous sommes 18 salariés temps plein dont 15 en contrat à durée indéterminée. Mais face à nos ambitions, nous allons devoir restructurer l'entreprise pour permettre son développement. Et créer un bureau d'études. Les grands bateaux, c'est compliqué.
Nous avons le projet de nous installer à Concarneau. D'implanter 2 000 m2 de bâtiments à Colguen 2. C'est absolument nécessaire pour refondre les process de production. Nous sommes en plein développement. Et une entreprise créatrice d'emplois. Depuis cinq ans, nous embauchons deux personnes de plus par an.
Je m'installerais directement à Lorient. Pour bénéficier de nouveaux bâtiments avec des services.